Il y a des titres de livres qui nous attirent spontanément. Et pour moi, qui porte un grand intérêt pour l'Afrique, né après un voyage de trois semaines au Zimbabwe avec une ong en 2007 (d'ailleurs, si ça vous intéresse, je pourrais publier ici mes carnets de voyage), celui-ci en est un. Loin des clichés et des stéréotypes occidentaux sur l'Afrique, il nous insuffle un peu de la passion de son auteure pour ce continent.
Résumé : Corinne Hofmann est l'auteure du
best-seller "La Massaï Blanche", vendu à plus de 2,5 millions
d'exemplaires et traduit en 30 langues. Elle y raconte sa passion avec un
guerrier de la tribu des Samburu et la naissance de son enfant en pleine
brousse. Ses relations avec son mari étant devenues de plus en plus tendues,
elle a dû fuir le petit village de Barsaloi avec son bébé alors âgé d'à peine
un an et demi. Mais l'Afrique reste toujours la grande passion de sa vie.
Dans ce nouveau livre, elle retourne pour la première fois avec sa
fille, aujourd’hui adolescente, visiter sa famille sub-saharienne. Corinne
Hofmann nous raconte la rencontre très émouvante entre la jeune femme et son
père.
Elle nous emmène également
découvrir le continent au-delà des clichés touristiques ; on y découvre
son engagement humanitaire et son authentique attachement pour l’Afrique noire.
« Dans cette aventure, lecteur, tu m’accompagneras tout au long de ma
randonnée, pédestre et chamelière, à travers la Namibie semi-désertique, et
jusqu’aux feux de camp des nomades Himba.
Tu plongeras avec moi dans la promiscuité des bidonvilles de Nairobi,
là où naissent les histoires des hommes, histoires de force et de courage.
Tu partageras l’émotion de ma fille à la rencontre de ses racines
africaines à Barsaloi. » (Quatrième de couverture)
Mon avis : Comme explicité dans ces quelques lignes, le livre est découpé en trois parties. Une randonnée en Namibie, un voyage dans la capitale kenyane à la rencontre de ses habitants et de leurs histoires et enfin, la rencontre entre sa fille et sa famille kenyane.
Personnellement, c'est la deuxième partie qui me le plus plu et emportée. On y découvre le travail d'une ONG dans les "slums" de Nairobi et l'amélioration que ces projets ont produits dans la vie des gens à force de travail et d'effort. Des projets qui vise à rendre les gens autonomes et non pas à leur apporter de l'aide. Des témoignages émouvants, des parcours de vie parfois très chaotique mais toujours la volonté de s'en sortir et de retrousser ses manches. Et puis, je rejoins l'avis de l'auteure, quand elle dit que se confronter à ces conditions de vie difficiles et à l'optimisme et la bonne humeur des gens pousse à relativiser nos petits tracas quotidiens.
La partie portant sur la randonnée est un peu moins intéressante mais permet de se faire une idée de l'Afrique rurale, et parfois sauvage, d'aujourd'hui.
Par contre, la rencontre entre sa fille et son père, m'a beaucoup moins intéressée. Trop courte, peut-être pas assez développée. Il est intéressant dans cette partie de voir se croiser le récit de la mère et de la fille, mais ça n'a pas suffit à me convaincre. Je pense aussi que concernant cette partie où l'auteure revient sur les lieux et les personnages de son passé, il est peut-être utile d'avoir lu ses livres précédents. Ce n'est pas mon cas et j'imagine que c'est de là que me vient cette sensation de trop peu.
Bref, un livre à lire si l'Afrique vous attire mais peut-être vaut-il mieux commencer par La Massaï blanche.
Mon avis : Comme explicité dans ces quelques lignes, le livre est découpé en trois parties. Une randonnée en Namibie, un voyage dans la capitale kenyane à la rencontre de ses habitants et de leurs histoires et enfin, la rencontre entre sa fille et sa famille kenyane.
Personnellement, c'est la deuxième partie qui me le plus plu et emportée. On y découvre le travail d'une ONG dans les "slums" de Nairobi et l'amélioration que ces projets ont produits dans la vie des gens à force de travail et d'effort. Des projets qui vise à rendre les gens autonomes et non pas à leur apporter de l'aide. Des témoignages émouvants, des parcours de vie parfois très chaotique mais toujours la volonté de s'en sortir et de retrousser ses manches. Et puis, je rejoins l'avis de l'auteure, quand elle dit que se confronter à ces conditions de vie difficiles et à l'optimisme et la bonne humeur des gens pousse à relativiser nos petits tracas quotidiens.
La partie portant sur la randonnée est un peu moins intéressante mais permet de se faire une idée de l'Afrique rurale, et parfois sauvage, d'aujourd'hui.
Par contre, la rencontre entre sa fille et son père, m'a beaucoup moins intéressée. Trop courte, peut-être pas assez développée. Il est intéressant dans cette partie de voir se croiser le récit de la mère et de la fille, mais ça n'a pas suffit à me convaincre. Je pense aussi que concernant cette partie où l'auteure revient sur les lieux et les personnages de son passé, il est peut-être utile d'avoir lu ses livres précédents. Ce n'est pas mon cas et j'imagine que c'est de là que me vient cette sensation de trop peu.
Bref, un livre à lire si l'Afrique vous attire mais peut-être vaut-il mieux commencer par La Massaï blanche.
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