mardi 31 juillet 2012

L'impossible mirage

Il y eut un article révélation. Celui qui m'a fait prendre conscience de quelque chose que je portais en moi, qui étais là, mais auquel je n'avais jamais prêté intention. Je ne sais plus qui l'a écrit, mais je me souviens lui avoir dit que je me retrouvais tout à fait dans ses mots.

Je ne rentre pas dans les cases. Tout d'abord professionnellement. Ce fut premièrement un prétexte à la rigolade avec une amie. Nous avions une licence puis une spécialisation et celle-ci ne rentrait dans aucune case du FOREM. Pas moyen de l'introduire manuellement et aucune case correspondante dans la liste. Et si tes études ne rentrent pas dans les cases, imagine un peu ce qu'il en est de ce que tu veux faire !

Mon parcours ensuite. Plutôt atypique. Un SVE dans une ong en Espagne, près d'un an plus tard un stage dans une ong, toujours en Espagne et quelques mois après ont suivi deux fois huit mois comme auxiliaire de conversation de français encore et toujours en Espagne, et entre ces huit mois, à chaque fois retour par la case chômage en Belgique. J'ai pris la poudre d'escampette, eu l'envie d'ailleurs et l'ai assouvie avant d'être "obligée" de rentrer.

Sentimentalement, c'est le calme plat depuis septembre et le retour chez mes parents en juin après une belle année en Espagne. Bref, à la veille de mes 28 ans, je suis loin du parcours en ligne droite, du moule dans lequel on veut nous faire rentrer. Je ne suis sans doute pas la seule et c'est à cette blogueuse dont j'ai oublié le nom que je dois cette révélation. Non, je ne rentre pas dans ce modèle. Et oui, il faut que j'oublie mes rêves d'ado faits de contradictions. Je me voyais à trente ans, stable sur le plan sentimental, avec un ou deux enfants et parcourant le monde en tant que coopérante pour une ong. Tu la vois maintenant la grosse contradiction ?? (bon, je sais, c'est pas impossible comme parcours mais difficile...) 

J'ai donc jeté aux oubliettes les plans tirés sur la comète et au lieu de suivre le courant, suivre ma propre voie. Alors, idéalement, niveau boulot, un poste d'animatrice/coordinatrice dans une ong me plairait bien, comme l'enseignement finalement. Repartir, j'y repenserai un jour sans doute après avoir renfloué mon compte en banque, passer le permis de conduire et peut-être m'être faite opérer de ma myopie. Quoique, si l'occasion se présente, qui sait...

Mais ce qui est sûr, totalement sûr, c'est que des enfants, avant mes trente ans, je n'en veux pas. D'abord, pas le père sous la main. Et puis, je ne suis finalement plus si sûre d'en avoir envie (mais ça, ça peut encore changer ;) ). De toute façon, j'ai trois soeurs, il y en a bien une qui fera des petits-enfants à mes parents. 

Moi, je suis l'aînée, celle qui a pris des voies différentes, parfois inattendues. Un voyage d'immersion au Zimbabwe avec une ong à la fin de ses études. Puis un premier séjour qui a duré neuf mois en Espagne, le premier d'une longue série. Une réorientation cette année en faisant un DU en français langue étrangère à distance, après une licence en Sciences Politiques et une spécialisation en Gestion du Développement, terminées il y a maintenant cinq ans. Une réorientation qui a cependant du sens. Qui fut le fruit de découvertes et de mon évolution personnelle.

Tout compte fait, même si je suis loin des standards, si à l'aube de mes 28 ans, je n'ai ni le permis, ni un job stable, ni un chez-moi, ni un chéri, moi, mon parcours, ma vie, je ne les échangerai pour rien au monde.


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lundi 30 juillet 2012

La septième vague - Daniel Glattauer

Tout comme Quand souffle le vent du nord, dès que ma Best me l'a rendu, je m'y suis plongée avec délice et je l'ai dévoré.


Résumé : Leo, de retour des Etats-Unis, la correspondance entre Emmi et lui reprend, d’abord timide après de longs mois de silence, puis tout s’enchaîne.
Mais voici qu’Emmi souhaite en finir pour de bon et mettre un terme à cette relation épistolaire. Pour cela, elle veut rencontrer Leo, une fois au moins…
La rencontre a lieu – conformément à la forme consacrée du roman épistolaire – sans public. Le lecteur n’aura droit qu’au compte-rendu…
La relation virtuelle survivra-t-elle au test de la réalité ? Comment maintenir la tension, si les deux personnages ne peuvent plus se cacher derrière les mots, mais se retrouvent face à face ? C’est là tout le charme, pétillant et captivant, de cette romance virtuelle et virtuose.(Babelio)

Mon avis : J'ai retrouvé avec plaisir Emmi et Léo et adoré observer l'évolution de leur relation. Du virtuel au réel, mais rien n'est facile. La dynamique du livre est différente de "Quand souffle le vent du nord" mais moi, cela ne m'a pas dérangé. Le ressort de l'intrigue change un peu aussi et ce n'est sans doute pas plus mal, on n'est donc pas lassé. On continue à suivre leurs échanges de mails et uniquement ceux-ci. Les hauts et les bas sont présents, dans leur relation, dans le rythme, le contenu et la fréquence des mails qu'ils s'échangent.À lire si vous avez aimé le premier tome !
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Sé feliz #32



Vive el momento
(vis le moment présent)
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samedi 28 juillet 2012

BDS {97}

Une semaine teintée de soleil, beaucoup de soleil, de petites robes, et d'un orage entre amies. Mais côté météo aussi, la semaine se terminera dans la tourmente.

comme cette semaine...
Depuis la semaine passée, j'ai repris le chemin de la salle de sport. Après un cours collectif pour lequel je n'étais pas hyper emballée la semaine passée, ce mercredi matin, ce fut séance cardio+un peu de muscu avec ma Best. Et j'avoue, j'en ai un peu bavé. Faut dire que moi je ne fais jamais plus de 20 minutes par appareil cardio et que je n'étais jamais monté sur le tapis de course. Mais comme elle a l'habitude de courir ces cinq kilomètres sur cet engin, j'ai suivi. Mais je me suis contentée de marcher rapidement même si j'ai intercalé quelques tours en courant (trois ou quatre). Pas si mal selon elle. Et puis, côté muscu, ce n'était pas les mêmes machines qu'à Logroño, je l'ai donc suivi... et j'ai mal à l'intérieur des cuisses depuis mercredi fin de journée. Heureusement qu'elle ne m'avait pas mis plus de poids ! Pour les abdos, j'ai préféré la Swissball et comme lors de mes cours d'aérofitball en Espagne, on sent qu'on les travaille en profondeur ! Par contre, y a pas vraiment d'espace suffisant pour utiliser correctement le ballon, seul bémol.

Alors que demain était une journée bloquée pour un moment détente aux thermes de Spa entre amies, la réalisation a capotée. La faute à un timing proposé en dernière minute, à une conception différente de ce qu'on attendait par "journée", à des malentendus dans la communication (difficile de disposer chacune de l'info complète quand on discute en deux à deux et report à la troisième puis la quatrième) et des attentes divergentes. Bref, le plan a capoté, certaines l'ont mal pris et l'ont exprimé assez vivement (alors que bon, elles sont coutumières des annulations de dernière minute). Et puis, il faut bien l'avouer, l'annonce que cette sortie coïnciderait avec Spa Francorchamps rendait l'entreprise, si pas impossible, fortement compliquée. J'ai essayé de remettre les choses à plat et de répondre à certaines critiques qui m'étaient directement adressées et je me suis fait taclée avec un "pas la peine d'en faire une histoire d'état". Alors que bon, par rapport aux deux mails précédents, le mien n'était en rien agressif et ne contenait aucun reproche. Sur ce coup, j'aurais dû écouter ma mère et laisser couler... mais je n'ai pas pu m'empêcher de mettre les points sur les i. Dans cette histoire, pour moi, les torts sont partagés. Point. On passe à autre chose mais on en tire des leçons pour le futur.

Un joli rayon de soleil aussi. Une petite attention, un petit message de Mi Compi depuis Grenoble où elle passe l'été. Et ça, ça m'a fait vachement plaisir. Replongée dans notre cohabitation, pleins de chouettes souvenirs. C'est clair, j'ai été contente de partager cette année avec elle.

Bref, le soleil et la pluie se sont partagés cette semaine...et pas seulement dans le ciel.
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vendredi 27 juillet 2012

Le prénom

Cela fait déjà un petit temps que ce film est sorti et c'est suite à une soirée ciné en famille que je l'ai enfin vu. Ma mère voulait absolument le voir, pour ma part, le Woody Allen me tentait bien aussi, mais j'ai suivi. Et je n'ai pas du tout regretté...


Synopsis : Vincent, la quarantaine triomphante, va être père pour la première fois. Invité à dîner chez Élisabeth et Pierre, sa sœur et son beau-frère, il y retrouve Claude, un ami d’enfance.
En attendant l’arrivée d’Anna, sa jeune épouse éternellement en retard, on le presse de questions sur sa future paternité dans la bonne humeur générale... Mais quand on demande à Vincent s’il a déjà choisi un prénom pour l’enfant à naître, sa réponse plonge la famille dans le chaos. (Allociné)

Mon avis : On sent indéniablement qu'à la base, il s'agit d'une pièce de théâtre, notamment les quiproquos typiques du théâtre,  mais le passage sur écran est loin d'être un échec ! Un diner en famille qui dérape, des secrets et des non-dits qui en profitent pour exploser mais dans la salle les éclats de rire fusent. On passe vraiment un très bon moment. À tel point que ma mère est prête à retourner le voir avec mon père, qui n'était pas présent ! Même ma petite soeur, qui n'était pas emballée à l'idée d'aller voir "un film de vieux", a apprécié du haut de ses quinze ans (difficile de savoir exactement ce qu'elle en pense mais elle n'a pas détesté, ma mère qui jetait de temps en temps des regards en coin affirme qu'elle souriait pas mal). Voilà, difficile d'en dire plus sans en dévoiler plus et gâcher votre plaisir mais allez le voir !
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mercredi 25 juillet 2012

Le ruban rouge - Carmen Posadas

C'est un fait. Dernièrement, je ne peux m'empêcher de me sentir attirée par tout livre dont l'auteur a un nom à consonance espagnole. Comme celui-ci. Un roman historique tout à fait agréable. Je l'ai dévoré en deux jours.


Résumé : Le 27 juillet 1794, 9 thermidor de l’an II, à la prison de la Force, deux jeunes femmes se tiennent compagnie dans l’attente de leur dernière heure. La chute de Robespierre signifie leur libération. L’une connaîtra un destin extraordinaire en devenant impératrice, l’autre sera l’une des femmes les plus adulées de la Révolution avant d’être l’égérie du Directoire.
Qui était vraiment Thérésa Cabarrus ? Une aristocrate espagnole arriviste et frivole, dont la beauté faisait et défaisait les fortunes ? Une révolutionnaire éprise du sanguinaire Jean-Lambert Tallien ? Une femme courageuse qui, de Bordeaux à Paris, sauva des centaines de têtes et contribua à mettre fin à la Terreur ? Une intrigante qui organisait des fêtes somptueuses, s’attira les faveurs de Barras et poussa Joséphine dans les bras de Bonaparte ? Une princesse et une mère exemplaires ?
En prêtant sa plume à la belle Thérésa, alias madame Tallien, alias Notre Dame du Bon Secours, alias Notre Dame de Thermidor, Carmen Posadas brosse le portrait d’une jeune femme pleine d’esprit, de générosité et d’audace, qui aimait les plaisirs, la mode et le luxe mais sut comprendre son époque et la vivre avec fougue et passion. (Seuil)

Mon avis : Un résumé qui m'a tout de suite séduit. Des détails historiques de la vie quotidienne et intime à l'époque. Un tableau politique et social de cette période de l'histoire française que, en tant que Belge, je connais assez peu finalement. Une héroïne à laquelle on s'attache malgré ses excès. Une personnalité et un destin hors du commun, une vie dont j'aimerai en savoir plus maintenant. Bref, un bon roman historique que je vous conseille.
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lundi 23 juillet 2012

Sé feliz #31


No te compares con los demás
(ne te compare pas aux autres)
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samedi 21 juillet 2012

BDS {96}

Drôles de semaines que celles-ci. C'est l'été, les vacances pour certains, mais le climat n'est pas de la partie dans ce tout petit coin du monde. De mon côté, j'envoie cv et lettres de motivation à tour de bras (ou presque) et attends des réponses. L'attente. Que ces deux mois se passent, que septembre apporte du changement, mais août sera sans doute déjà plus mouvementé.


Un flop pour notre sortie du samedi soir. Ma Best a somatisé une grosse contrariété pas l'envie et le physique pour une nuit à shaker son booty avec la musique à fond. On a quand même tenté d'aller jusque là, histoire d'enfin acquérir le Saint-Graal. C'est-à-dire la carte de membre de cette boîte namuroise, histoire de profiter des avantages (entrée gratuite avant minuit). Et une fois de plus, impossible de l'avoir. Cette fois, parce qu'il n'y avait qu'une personne à l'accueil. Pourtant, il était tôt et la file derrière nous quasi inexistante. On est donc rentrées et comme ce n'est pas la première fois qu'on nous la refuse, dès le lendemain, mail de plainte...sans suite pour l'instant.

Petit problème de paiement de facture avec mon ancien fournisseur internet en Espagne. Quasi réglé, j'attends juste confirmation. Problème qui n'aura pas existé si on ne m'avait coupé l'accès à l'espace client dès ma désincription de leur service alors que deux factures devaient encore me parvenir. Et surtout si ils envoyaient les factures à temps ! Recevoir la facture le 10 juillet alors qu'on ponctionne sur le compte le 3, faut pas déconner non plus, je fais pas de miracles, et ma banque non plus !

Une jolie lecture dont je vous ai parlé hier... Tellement prise dans l'histoire que je suis restée plus longtemps que prévu sur ma terrasse. Jusqu'à le terminer, en fait. Et j'ai donc récolté des marques de bronzage et aucun coup de soleil ouf !

Un abonnement pris à la salle de sport près de chez moi aussi. J'ai testé mercredi le cours de Sh'bam et j'en ai été un peu déçue. Il faut dire que je pensais que c'était le nouveau Body Jam et ça n'a juste rien à voir. Le Body Jam, c'était presque un vrai cours de danse. Deux mini chorégraphies qu'on développait sur six titres, le dernier servant juste à exécuter la choré entière. Et le Sh'bam, c'est juste de l'aérobic un peu plus dansé. Un peu comme un cours de Zumba, en plus soft il m'a semblé, sans le côté latino. Deçue car mes attentes étaient trop grandes, je m'en rends compte. Enfin, il me reste les cours de Zumba et les séances d'entrainement matinales avec ma Best, car Body Jam y a pas dans ma salle :( !
La preuve en images : Le Body Jam

Et le Sh'bam : 
Rien à voir donc. Et clairement, moi je m'éclate bien plus à un cours de Body Jam qu'au Sh'Bam.

Des sous sous qui trainent à arriver sur mon compte alors que j'en ai bien besoin pour payer la formation que je vais suivre en août. Les remboursements de la mutuelle (bon, c'est les vacances, j'imagine que c'est un peu plus long à traiter, patience) et le remboursement de mes frais de voyage de cette année. Deux semaines qu'on m'a confirmé la bonne réception des documents y afférant et je ne vois toujours rien venir. J'attends août pour m'inquiéter.

Et puis toujours, les petits éléments de la vie quotidienne. Les bêtises du chat, les tâches ménagères, les papotages avec ma mère... nothing special donc.
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vendredi 20 juillet 2012

Quand souffle le vent du nord - Daniel Glattauer

Il faisait partie de ma longue liste de livres classés dans la catégorie pense-bêtes sur Babelio. Et je suis tombée dessus parmi les rangées de livres du Bibliobus. Une jolie surprise alors que sur une liste de dix livres, ils ne m'en avaient trouvé que trois. D'ailleurs, ni une ni deux, j'ai embarqué la suite sous mon bras par la même occasion.


Résumé : En voulant résilier un abonnement, Emma Rothner se trompe d’adresse et envoie un mail à un inconnu, un certain Leo Leike. Ce dernier, poliment, lui signale son erreur ; Emma s’excuse, et, peu à peu, un dialogue s’engage entre eux, par mail uniquement. Au fil du temps, leur relation se tisse, s’étoffe, et ces deux inconnus vont se mettre à éprouver l’un pour l’autre une certaine fascination. Alors même qu’ils décident de ne rien révéler de leurs vies respectives, ils cherchent à deviner les secrets de l’autre… De plus en plus attirés et dépendants, Emmi et Leo repoussent néanmoins le moment fatidique de la rencontre. Emmi est mariée, et Leo se remet à grand peine d’un chagrin d’amour. Un jour, pourtant – enfin ! –, ils décident de se donner rendez-vous dans un café bondé de la ville. Mais ils s’imposent une règle : reconnaître l’autre qu’ils n’ont pourtant jamais vu, avec interdiction formelle de lui parler…(Babelio)

Mon avis : Un recueil de mails échangés, parfois longs, parfois très succints, séparés de quelques dizaines de secondes à plusieurs semaines. Au fil des mails, une relation se tisse, se construit entre Emmi et Leo. Et on se laisse emporter dans cette histoire un peu étrange. Arrivée au bout, on n'a qu'une envie, qui est aussi une frustration, foncer sur la suite et savoir si...
Je vous le conseille donc absolument ! Le ton est léger, mais parfois plus sérieux aussi et débordant d'humour et de tendresse.
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mercredi 18 juillet 2012

Le Parc Astérix et encore un château

Après la visite du château de Pierrefonds, le lendemain fut dédié au Parc Astérix grâce aux entrées gagnées par mon père à la radio. 

J'y ai fait très peu de photos finalement. Temps pas terrible et puis, faire des photos des attractions, j'ai pas trouvé ça très utile. J'ai bien pris quelques photos d'un des spectacles mais ça ne donne rien du tout. Et j'ai compris tout me vient mon problème avec les photos : ma mère a fait de nombreux commentaires sur les gens, munis d'appareils photos numériques, qui photographient tout et n'importe quoi... Si on y ajoute le fait qu'il est quasi impossible de la prendre en photo, tu comprendras aisément pourquoi, moi, j'en fais très peu.

Cette photo provient de : http://bannister.org/coasters/trips/2004/0827asterix.jpg

Bref. Une super journée à Astérix donc. Pas trop d'attractions fortes finalement. Même si Choupette m'avait dit de la balancer dans le Goudurix et Oziris si elle refusait d'y aller une fois sur place. 
Qu'est-ce qu'on a fait alors ? Les espions de César, un petit tour sur rail dans les hauteurs mais totalement pépère. Le Romus et Rapidus, les grosses bouées donc. On a même été forcés de le faire deux fois de suite. Ma mère n'osant pas sortir car la bouée était mal mise, la personne préposée ne faisant aucun geste pour nous aider, quand on a voulu sortir voyant son inaction, on nous a dit : "trop tard". Je vous raconte pas la tête de ma mère, qui n'en menait pas large après le premier tour...
Le vol d'Icare, une montagne russe pépère. Le Tonnerre de Zeus, la montagne russe en bois, après laquelle Choupette a déclaré qu'elle ne faisait plus rien. Faut dire que les deux premières descentes sont corsées et qu'elle devenait blanche. Finalement ça m'a bien arrangée cette histoire...j'étais finalement plus si sûre d'avoir envie de monter dans Oziris et le Goudurix (même si il y a 10-12 ans, je l'avais fait trois fois sur une journée celui-là). Les chaudrons, les tasses de Disney version Astérix. La rivière d'Elis, un petit tour en bateau totalement pépère. Le Grand Splash, qui porte mal son nom. Mouillées, on l'était...mais parce qu'il a commencé à pleuvoir !

Et puis, les spectacles. Si mes parents les ont tous vu, nous n'avons vu que "La légion recrute" et "Main basse sur la Joconde". À voir absolument, ça en vaut la peine. Humour et cascades au rendez-vous. Et de gros moyens pour "Main basse sur la Joconde". Le spectacle des dauphins vaut la peine aussi selon mes parents.

Malheureusement, nous sommes sortis du parc plutôt que prévu, vu la méga drache qui nous est tombée dessus. 

Et le lendemain, visite du château impérial de Compiègne. Une autre visite qui en vaut la peine. Des salles restaurées et meublées plus nombreuses qu'à Pierrefonds, une visite qui se fait par audio-guides (nous étions en dehors des horaires de visite guidée). Franchement, si vous passez par là, vous en prendrez plein les yeux !

L'entrée du château. Cette image provient de http://www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateau%20de%20compiegne_s.JPG   


L'un des appartements impériaux. Cette photo provient de http://www.letour.fr/PHOTOS/PRX/2007/100/D/fr/compiegne_03.jpg



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mardi 17 juillet 2012

Dépaysement dans l'Oise : le château de Pierrefonds

Eh oui, cette année pas de vacances lointaines, on a juste traversé la frontière et fait quelques centaines de kilomètres. Pas plus. Trois petits jours aussi, de quoi changer d'air et les idées. Mais pas changer de climat, malheureusement.

Donc mardi matin, après quelques heures de route et un pique-nique, nous sommes allés visiter le château de Pierrefonds. Déjà, il en jette pas mal. Regardez donc les photos.

Le château vu de loin

L'entrée
Ensuite, et ça on l'a appris durant la visite, il a été scène de tournage pour des films, téléfilms et séries. Du côté francophone, Jeanne d'Arc de Besson, Les Rois Maudits et plus récemment Inquisition. Mais c'est aussi là qu'on a tourné (entièrement ou en partie, j'ai pas l'info) la série britannique Merlin (que j'adore).

Alors, une visite super intéressante, un guide vraiment passionné mais je n'ai pris aucune photo. Seules quelques photos dans la cour et des décors de tournage de Merlin.

Quelques infos sur le château : en gros, c'est un château qui fut construit à l'origine au Moyen-Âge et qui fut restauré au XVIIIème siècle. C'est notamment dans la chapelle du château que s'est marié le Roi Léopold Ier, et le banquet eu lieu au château de Compiègne (que nous avons visité deux jours plus tard). Pour le reste, étant donné que je me perds dans les dates, les rois et les empereurs en France, je ne m'avancerai pas dans plus de détails historiques. 

Une visite que nous avons trouvé globalement intéressante. Et un tas d'activités prévues pour les groupes d'enfants. Apparemment, pour les colos et centres aérés, visite avec un acteur en tenue d'époque et diverses activités (contes, funambulisme, combat d'épées...). Ça avait l'air franchement pas mal.


L'une des gouttières de la cour, il y a de nombreux animaux représentés un peu partout dans l'architecture du château...

Les vitraux de la chapelle

La maquette du château

Des décors de la série Merlin

De "plus près"

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lundi 16 juillet 2012

Sé feliz #30



Programa un plan realista
(Programme un plan réaliste)
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samedi 14 juillet 2012

BDS {95}

Une nouvelle semaine se termine. Difficile de croire que nous sommes en été. Et pourtant, un petit goût d'évasion avec ces trois jours passés dans l'Oise.


Une soirée festive qui s'annonce ce soir. Moi qui adore et ai besoin de me déhancher de temps en autre sur le dance floor, cette petite sortie va me faire le plus grand bien. Et ce sera sans doute l'une des seules de cet été. 

Des idées de petites choses à vous raconter, un changement dans la disposition de mes meubles dans ma chambre, un dossier à remplir et des renseignements à prendre pour diverses petites chose...mais beaucoup de mal à m'y mettre. De nouveau, j'aurais bien besoin d'un coup de pied au cul.

J'ai aussi pu enfin tester les vernis Essie. Le "All tied up". Une couleur sans doute plus classique et plus passe-partout que mes récentes acquisitions, mais j'en suis plutôt contente. Un pinceau génial et une seule couche nécessaire. Je suis contente du résultat.

Une envie d'acquérir une dvdthèque digne de ce nom aussi. Il faut dire que les seuls DVD que je possède sont l'Auberge Espagnole et les Poupées Russes. Et une acquistion toute récente, un Almodovar. Et en voyant la promo des soldes à la Fn*c sur les dvd, 5 pour 30 euros, je me dis que c'est l'occasion où jamais de commencer. Surtout que quelques films de la sélection me font de l'oeil.
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jeudi 12 juillet 2012

Changements

Peut-être l'avez-vous remarqué, peut-être pas. Deux petits changements, trois fois rien, sont intervenus sur ce blog.


Tout d'abord, l'abandon progressif, sur certains posts du titre en espagnol. Tout simplement parce que je ne vis plus là-bas, parce que trouver/traduire un titre en espagnol, ça me devenait parfois difficile. Alors, je limiterai ces titres, cette particularité qui fut mienne pendant longtemps, aux articles aillant un rapport avec l'Espagne et ma vie là-bas.

Ensuite, en ce qui concerne la forme, j'ai modifié quelques couleurs de police. Parce que le gris clair était parfois illisible sur ce design. Mais je suis moyennement satisfaite des couleurs de lien. Trop flashy, pas assez douces. Malheureusement, plus clairs, certains mots étaient illisibles. Et vous, vous en pensez quoi ?

Et puis, comme souvent, est (re)venue me chatouiller l'envie de rouvrir un nouveau blog, de changer de plate-forme. Comme j'ai changé de pays. Mais finalement, je ne pense pas que je le ferai. Tout simplement, parce que quand j'ai créé celui-ci, je l'ai fait suffisamment teinté d'Espagne pour que cela se note, mais j'ai laissé ouvertes d'autres portes aussi. Mon retour en Belgique ne signifie donc pas que ce blog soit devenu obsolète ou hors thème. 

Bref, ici ou ailleurs, c'est sur ce blog que je continuerai...
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Les trois derniers livres que j'ai lu

Furent des lectures rapides. Caractérisées par une histoire qui se laisse lire mais qui ne m'a pas réellement satisfaite. Trois romans que je n'ai noté entre 2/5 et 3/5 sur Babelio.


Le coeur d'une autre - Tatiana de Rosnay 


Résumé : Bruce, un quadragénaire divorcé, un peu ours, un rien misogyne, est sauvé in extremis par une greffe cardiaque.
Après l’opération, sa personnalité, son comportement, ses goûts changent de façon surprenante. Il ignore encore que le cœur greffé est celui d’une femme. Mais quand ce cœur s’emballe avec frénésie devant les tableaux d’un maître de la Renaissance italienne, Bruce veut comprendre.
Qui était son donneur ? Quelle avait été sa vie ?
Des palais austères de Toscane aux sommets laiteux des Grisons, Bruce mène l’enquête. Lorsqu’il découvrira la vérité, il ne sera plus jamais le même… (Babelio)

Mon avis : Le talent d'écrivain de Tania de Rosnay est bien présent, l'histoire est belle. Peut-être un peu trop gentillette. Et un brin prévisible. Dès que les indices sont donnés pour le prochain "rebondissement", on devine ce qui va se passer, ce qui va finir par arriver. Bref, ça se lit vite, on passe un moment agréable mais ça ne me suffit pas.


Plus fort que le doute - Nicci French


Résumé : Un tragique accident de la route vient de faire 2 victimes. Au volant, un dénommé Greg Manning laisse derrière lui une épouse effondrée. L'autre mauvaise nouvelle, c'est qu'il n'était pas seul dans le véhicule. Une mystérieuse jeune femme est morte à ses côtés.
Pour son entourage, cela ne fait aucun doute, Greg avait une liaison. Pour Ellie, sa veuve, il y a forcément une autre explication. Son mari ne l'a pas trompée, elle en est persuadée! Résolue à le prouver à la face du monde, elle se lance dans la reconstitution minutieuse de l'emploi du temps de Greg, les semaines qui ont précédé le drame. Aux grands maux les grands remèdes, elle change d'identité, s'immisce dans la vie privée de la défunte, ment à ses amis, se renferme sur elle-même et ne vit plus que pour découvrir la vérité. Elle n'imagine pas dans quoi elle vient de s'embarquer....Sans compter que son attitude commence à éveiller les soupcons. (Babelio

Mon avis : Ce n'est qu'arrivé aux 4/5 du roman que l'on n'a réellement l'impression d'entrer dans un thriller. Avant, il s'agit de la manière qu'a Ellie de gérer son deuil et surtout la disparition de son mari. Je n'ai pas réellement ressenti de tensions comme dans d'autres polar et ça, ça m'a vraiment manqué. En plus, et ça doit bien être la première fois que ça m'arrive, j'ai deviné l'identité du meurtrier avant la fin et la moitié de son mobile. Et j'aime en général que l'auteur me surprenne sur la conclusion de l'enquête après m'avoir baladé de fausse piste en fausse piste. Reste que ça se lit vite et que la lecture est agréable.


Viens plus près - Sara Gran



Résumé : Et si soudain vos désirs les plus secrets se réalisaient ?  Amanda a tout pour être heureuse : un mari qu'elle aime, un métier - architecte - qui la comble. Une vie parfaite. En apparence. Jusqu'au jour où, dans un état second, elle se met peu à peu, et presque malgré elle, à réaliser ses désirs les plus enfouis, à donner libre cours à toutes ses pulsions. Est-elle «possédée» ? Cherche-t-elle inconsciemment une libération totale, absolue ? Jusqu'où ira cette descente aux enfers, qui peut parfois prendre des allures de paradis ? (Babelio)

Mon avis : Je l'ai lu jusqu'au bout, en une après-midi, mais je n'ai pas du tout adhéré à l'histoire. Une histoire de possession et de démons et la liste des actes étranges, des pulsions immorales auxquelles se soumet, obéit Amanda. Son angoisse à certains moments. L'impulsion, trop tard, de se débarrasser de cette entité qui la possède. Et sa descente aux enfers. Pas assez de recul, pas assez d'action non plus. Ça se laisse lire mais ça ne m'a pas emporté.
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mercredi 11 juillet 2012

Tu ou vous ?

C'est une question délicate. Quand et avec qui passer au tu et quand en rester au vous ?



C'est un petit problème qui m'est sans doute plus présent depuis mon retour d'Espagne. Où la question ne se pose (presque) pas. Tout le monde tutoie tout le monde et parfois plus. Il m'a d'ailleurs souvent arrivé que des vendeurs/vendeuses m'interpellent d'un cariño ou autre petit mot du même genre. Ce qui à force ne me gênait plus... Sauf quand c'est mon banquier qui m'apostrophe à coup de tía, là, j'ai du mal. Car ça ne colle plus du tout avec l'image/le rôle que l'on se fait du banquier. Et les rares fois où j'ai essayé d'employer le usted (la forme polie en espagnol), les gens me répondaient neuf fois sur dix par alors...

Par contre, retour en Belgique et donc au vous. Si dans les commerces, entretiens et autres rendez-vous, le vous ne fait pas de doute, je me pose une question... Dans un environnement disons festif ou relax, qu'est-ce que j'emploie avec une personne que je ne connais pas mais qui a plus au moins mon âge ? Le tu ou le vous ? Une question que je ne me pose pas en espagnol, c'est direct. Et à bien y réfléchir, quand je rencontre des Couchsurfers francophones, c'est le tu aussi. Mais pour les autres... Il faut dire que moi, au premier abord, si on m'aborde avec en me vouvoyant, ça me fait bizarre. Genre : j'ai l'air si vieille que ça ? Et puis, en y repensant, je trouve ça finalement plutôt agréable à l'oreille, voire charmant...

Alors, tu ou vous ? Finalement, ils en ont de la chance, les anglophones, avec le you, pas de doute possible, on évite tout impair !
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mardi 10 juillet 2012

Vacances !

À l'heure où ce billet s'affichera sur ce blog, je serai en train de boucler ma valise, voire de déjà charger la voiture. Direction trois petits jours de vacances avec mes parents et Choupette dans le nord de la France. 


Au programme : une journée au parc Astérix, histoire de profiter des entrées que mon père a gagné sur N*J à Pâques et puis quelques visites dans l'Oise, vu qu'on a choisi un petit hôtel bien avant le parc et Paris.
Autant vous dire que Choupette est excitée comme une puce par l'idée que dans 24h, elle sera dans le parc. Et les "tu me pousseras hein si tu devant l'attraction Osiris je veux plus y aller ?" etc etc. De mon côté, j'attends aussi cette journée avec impatience... Ma journée à Disneyland juste avant Pâques m'a énormément plu, j'en attends autant pour demain. 

Petites vacances mais chouettes moments, je l'espère...
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lundi 9 juillet 2012

Sé feliz #29

Trata de llegar 
(Essaye d'arriver)
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samedi 7 juillet 2012

BDS {94}

Slowly. Wait and see. Enjoy what every days brings you. C'est le mood du moment, et de cette semaine.

 

Ouf, il semble que nous sommes enfin venus à bout des puces qui infestaient la petite chatte que nous avons à la maison depuis le mois de mai. Des parasites qui sont sans doute arrivés avec elle. Et malgré deux traitements au Fr*ntline, rien n'y avait fait. Armés d'un peigne à pous, nous les attrapions par dizaine. Ma mère en fut même désespérée. Et puis, à la pharmacie, on nous a conseillé un produit trois en un (puces, vers et un autre parasite, il me semble). Cela fait deux jours qu'on lui a administré et il me semble qu'elle ne se gratte plus. 

En parlant de parasites, depuis mi-juin, je suis bouffée par les moustiques (ou autre bête qui pique). Une vingtaine de piqûres autour des chevilles et sur les pieds, quelques-unes sur les cuisses et d'autres éparpillées sur les bras. J'ai d'ailleurs de magnifiques croûtes et cicatrices, vu que ça démangeait vraiment trop. Impossible de m'empêcher de gratter.

Fait un peu les soldes cette semaine (mais juste un peu). J'ai donc acquis une nouvelle tenue de sport (soutien de sport, top, pantacourt et sweat) pour moins de soixante euros, merci la VPC. Et juste craqué sur une paire de Birkenst*ck, le basique confortable en été, vu que je me suis séparée de ma première paire l'été passé. Et cette fois, j'ai fait dans la couleur. Menthe. 

Après un passage chez I*ea, l'envie de modifier la disposition de ma chambre. Changer le lit de sens, déplacer la commode. Sans doute le miroir qui se trouvera coincé par le lit (enfin, dès que j'arriverai à convaincre mon père de le faire). Pas grand chose sans doute, mais ça me donnera au moins l'impression d'un changement.
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mercredi 4 juillet 2012

On prend les mêmes et on recommence !

Le retour en Belgique, ça signifie aussi l'envol de l'insouciance et le retour du stress du niveau du compte bancaire.


Pas que je sois dans le rouge ou proche d'y être. Non, pas vraiment. Juste qu'ici je me pose plus la question du "j'en ai besoin ou pas ?" Je fais la liste de ce dont j'ai besoin, parfois envie, et quand j'estime la somme que ces éventuels achats constitueraient, j'en ai des palpitations. Je compte presque tout. 

J'ai refusé d'accompagner ma Best au festival Esperanzah. Mauvais timing. Ça tombe le premier weekend d'août, juste avant la formation initiale en FLE à laquelle je me suis inscrite à Liège. Et entre le coût de cette formation, le logement et les frais de nourriture et de loisirs que j'aurais sur ces trois semaines, ça va être tendu si j'ajoute Esperanzah à l'équation. D'ailleurs, j'avoue, j'ai tardé un peu beaucoup à m'inscrire. Juste pour cette somme dont j'allais devoir me délester. Mais bon, je pense que c'est un investissement intéressant alors...

Bref, comme l'été passé, j'en reviens à surveiller mes sous de près. Et à refuser certaines propositions. Bon, je vous rassure. Y aura pas d'Esperanzah cette année, mais déjà un resto entre filles, une soirée en boîte et une aprem' détente à Spa prévue ce mois-ci. Faut faire des choix dans la vie.

Bon, allez, on va ressortir le petit carnet pour noter mes dépenses et l'évolution de mon compte, histoire de suivre de près tout ça. Et surtout, éviter les mauvaises surprises.
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mardi 3 juillet 2012

Couleur Café 2012

Un seul mot pour résumer cette super journée : woaw et un big merci à ma soeurette. Je crois que Couleur Café, ça doit bien faire 10 ans que je rêve d'y aller et là, j'ai enfin réalisé ce rêve grâce à Linor. Un bien beau cadeau d'anniversaire en avance, c'est qu'elle assure ma soeur !!

Peinture de guerre dès l'entrée
Au programme, et absolument incontournable pour moi : Orishas... enfin Ruzzo&Roldan, les deux membres du groupe qui se produisent encore. Et là, j'ai adoré. Un mélange de son cubain (salsa principalement) et de r'n'b. Parfait pour nous réconcilier musicalement ma soeur et moi ! Et puis, Roldan il assure. Arrivées sous le chapiteau une demi-heure avant le début du concert, nous avons assisté aux essais sons. À un moment, Roldan est descendu entre la scène et les barrières. Papote avec les gens, photos, autographes... Super abordable quoi. Ma soeur me poussait à y aller "Allez, je te prends une photo", "Vas-lui demander un autographe". J'ai pas osé...et j'ai regretté après le concert. Je n'ai pas absolument pas vu passer l'heure. Trop trop bon ! 

Ruzzo y Roldan
Ensuite, on a traîné un peu sur le site. Croisé la fanfare de samba. De drôles d'oiseaux. Été jeter un oeil aux ateliers de danse. Passées rapidement dans deux autres espaces concerts. J'ai bien aimé les deux-trois titres de Jali qu'on a écouté-dont une reprise de "Foule sentimentale". Mais c'était trop calme pour la soeurette et elle était pas assez emballée par De La Soul, donc on a trainé au milieu des stands et je suis allée prendre un thé à la menthe pour me réchauffer en attendant le feu d'artifice.



Suivi du concert que la soeurette attendait avec impatience. Sean Paul. Je dois avouer que j'ai pas hyper profité du concert. J'avais froid et j'étais fatiguée. Me suis à peine trémoussé un peu. Mais, quand même surprise, de connaître une grosse grosse majorité des titres qu'il a interprété ce soir-là...et de l'ambiance de folie qu'il a mis, ça se trémoussait dans tous les sens. 

Bref, une bonne soirée et encore une idée géniale de Linor !
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lundi 2 juillet 2012

Lamento no haber estado ahí

Pour fêter cette belle victoire, ce triplé. Sortir dans la rue, retrouver tout Logroño autour de la fuente de Murrieta et danser et chanter toute la nuit. Une soirée, une victoire qui m'a rappelée cette folle soirée de 2008. Un match regardé à la télé avec mes colocs, une bouteille de Lambrusco débouchée pour fêter ça et puis, plongée dans cette ambiance folle. Dans les rues, dans les bars. Que recuerdos ! La première fois que je suivais aussi assidument le foot. D'ailleurs, je crois que c'est un virus que j'ai attrapé en Espagne (mais je me limite aux grands matchs).

Photo de Logroño hier soir, piquée sur le mur d'un ami
C'est peut-être mon seul regret d'être partie. Trop tôt pour profiter de la Eurocopa. Ça, et les amis que j'ai laissé. Comme la Profe qui me tient au courant des derniers potins, me laisse des messages sur mon mur , des te echo de menos, bref, elle a le don de me faire venir une petite larme à l'oeil, un mois après mon départ. 

Et puis, oui, il y a une chanson dans mon mp3, une seule qui me fait venir les larmes aux yeux en ce moment. Cuando me vaya de Melocos.

Que cuando me vaya
no caiga una lagrima por mi,
que solo quede la amistad,
tantos sueños que recordar...
Que cuando me vaya
y coja ese tren una vez mas
y ya no entre por mi ventana
ese dulce olor a sal...

Que cuando me vaya de aquí,
de mi tierra, de mi gente,
de mi tierra la que me vio nacer
la que me vio crecer
la que me vió ganar
y me enseño a perder... 

 
C'est bête, ce n'était pas mon pays, mes origines, mais j'ai parfois l'impression que j'appartiendrais toujours un peu à La Rioja... Belge parce que ce sera toujours mon pays, là où je suis née, mais l'Espagne et La Rioja pour toujours au fond du coeur.
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Sé feliz #28



Compra flores
(Achète des fleurs)
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dimanche 1 juillet 2012

BDS {93} : una semana real !

Quelle magnifique semaine que celle qui se termine aujourd'hui ! Il ne manque plus qu'une victoire espagnole à l'Eurocopa pour la rendre parfaite lol


Une superbe journée que celle d'hier, que je dois à ma soeur Linor. Un cadeau d'anniversaire en avance, une place pour Couleur Café. Et ce fut juste woaw ! Je vous en parlerai très vite !

Un atelier recherche d'emploi le vendredi avec l'université. Assez sympa. Même si pendant la dernière demi-heure, j'ai papoté avec une récente diplômée dans ma formation.

Jeudi fut le jour de la proclamation de ma cousine qui vient de terminer sa Rhéto. Franchement, je suis pas fan de cette imitation américaine au rabais. Toge et tout le bazar. Mais sans qu'il y ait un véritable sens à tout ce "cinéma". Mais c'est sûr que ça doit faire de belles photos !

Mardi, une super soirée pour l'avant-première de "Paris-Manhattan" lors d'une ladies' night. Un film que je vous conseille. Et puis, surtout un petit resto rapide avant le ciné avec ma Best et une de ses collègues, un dernier verre après le film... Une soirée filles bien agréable ! J'ai hâte de remettre ça !

Et après une petite déception au Bibliobus car des dix romans de ma liste, ils n'en avaient que trois, j'en ai déniché deux autres que je voulais lire entre les rayons. Bref, j'ai de quoi lire cet été !
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