C'est un roman dont j'ai entendu parler sur le blog de Mademoiselle du Petit Bois, malheureusement l'article en question n'est plus disponible. Elle y recensait quelques romans (dont j'ai heureusement pris note des titres) ayant pour cadre la guerre civile espagnole et le franquisme, période qui m'intéresse pour comprendre un peu mieux cette Espagne dans laquelle je vis aujourd'hui... - Edit : son article complet est à nouveau disponible ici.
NB : la couverture originale est nettement plus belle que celle de la version française, très sobre. |
Résumé : Comme souvent au début des histoires, il y a une femme sur un quai de gare, au petit matin.
Mise élégante, talons hauts, gants de cuir, elle dénote parmi des passagers apeurés qui n’osent croire que la guerre est finie. Isabel fait partie du clan des vainqueurs et n’a rien à redouter de ces phalangistes arrogants qui arpentent la gare de Mérida en ce rude hiver 1941. Elle presse la main de son plus jeune fils et écrit à l’aîné, qu’elle s’apprête à abandonner, les raisons de sa fuite. Le train de 4 heures en direction de Lisbonne partira sans elle.
L’enfant rentrera seul chez son père, appâté par le sabre de samouraï de ses rêves qu’un homme vient de lui promettre. Isabel disparaît pour toujours. Quarante ans plus tard, une autre femme est soupçonnée d'un meurtre et doit comparaître devant la justice des hommes. Mais pour cette brillante avocate, cela n’a guère d’importance. Elle est atteinte d’une tumeur cérébrale et c’est à sa mémoire qu’elle doit des comptes. (résumé de l'éditeur, sur Babelio)
Mise élégante, talons hauts, gants de cuir, elle dénote parmi des passagers apeurés qui n’osent croire que la guerre est finie. Isabel fait partie du clan des vainqueurs et n’a rien à redouter de ces phalangistes arrogants qui arpentent la gare de Mérida en ce rude hiver 1941. Elle presse la main de son plus jeune fils et écrit à l’aîné, qu’elle s’apprête à abandonner, les raisons de sa fuite. Le train de 4 heures en direction de Lisbonne partira sans elle.
L’enfant rentrera seul chez son père, appâté par le sabre de samouraï de ses rêves qu’un homme vient de lui promettre. Isabel disparaît pour toujours. Quarante ans plus tard, une autre femme est soupçonnée d'un meurtre et doit comparaître devant la justice des hommes. Mais pour cette brillante avocate, cela n’a guère d’importance. Elle est atteinte d’une tumeur cérébrale et c’est à sa mémoire qu’elle doit des comptes. (résumé de l'éditeur, sur Babelio)
Mon avis : Un vrai polar, psychologique et très noir, qui a pour trame historique la guerre civile espagnole, les années de franquisme qui ont suivi et la tentative de coup d'Etat de février 1981. Une maîtrise parfaite de l'auteur qui nous balade d'une époque à l'autre, au gré de différents flash-back éclairant le présent. Un roman qui mêle mensonges, trahisons et soif de pouvoir dans un climat oppressant et dont on ne sort pas indemne.
*La tristesse du Samouraï
Il est dans ma liste de lecture, merci pour cet avis!
RépondreSupprimerde rien. Tu me diras ce que tu en penses après ta lecture ;)
SupprimerPas mal ce roman, enfin on dirait. Les polars bien noirs ça peut des dois être super sympa, moi j'en ai lu des tonnes et j'aime bien. Enfin tout dépend, à voir.
RépondreSupprimerBonne après midi, à bientôt, bises bises.
Clara
Je suis très polar aussi et la période m'intéresse beaucoup. Mais c'est vrai qu'après tout dépend de ta sensibilité parce certains polars sont vraiment très noirs. A bientôt ;)
SupprimerJe note pour mon prochain passage en France !
RépondreSupprimer;)
SupprimerHola Mariposa! Ça y est, l'article est à nouveau disponible… ;-)
RépondreSupprimerMerci de me l'avoir annoncé, j'édite mon post ;)
Supprimeravé le lien c'est mieux… L'article est donc ici : http://mademoiselledupetitbois.wordpress.com/2012/02/12/la-tristesse-des-samourai-espagnols/
RépondreSupprimerA bientôt !
Anna
ajouté dans le post ;)
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