Le retour en Belgique, ça signifie aussi l'envol de l'insouciance et le retour du stress du niveau du compte bancaire.
Pas que je sois dans le rouge ou proche d'y être. Non, pas vraiment. Juste qu'ici je me pose plus la question du "j'en ai besoin ou pas ?" Je fais la liste de ce dont j'ai besoin, parfois envie, et quand j'estime la somme que ces éventuels achats constitueraient, j'en ai des palpitations. Je compte presque tout.
J'ai refusé d'accompagner ma Best au festival Esperanzah. Mauvais timing. Ça tombe le premier weekend d'août, juste avant la formation initiale en FLE à laquelle je me suis inscrite à Liège. Et entre le coût de cette formation, le logement et les frais de nourriture et de loisirs que j'aurais sur ces trois semaines, ça va être tendu si j'ajoute Esperanzah à l'équation. D'ailleurs, j'avoue, j'ai tardé un peu beaucoup à m'inscrire. Juste pour cette somme dont j'allais devoir me délester. Mais bon, je pense que c'est un investissement intéressant alors...
Bref, comme l'été passé, j'en reviens à surveiller mes sous de près. Et à refuser certaines propositions. Bon, je vous rassure. Y aura pas d'Esperanzah cette année, mais déjà un resto entre filles, une soirée en boîte et une aprem' détente à Spa prévue ce mois-ci. Faut faire des choix dans la vie.
Bon, allez, on va ressortir le petit carnet pour noter mes dépenses et l'évolution de mon compte, histoire de suivre de près tout ça. Et surtout, éviter les mauvaises surprises.
Il faudrait que je m'y mette sérieusement, au petit carnet de comptes... j'ai du mal à le tenir plus de quelques mois...
RépondreSupprimerj'ai toujours plus ou moins tenu un petit carnet de compte en Espagne car il me fallait gérer deux comptes, le belge et l'espagnol, et les éventuels transferts entre les deux. Et j'ai beau consulter mon compte en ligne, les chiffres ne s'imprime pas dans ma tête donc je note !
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