La journée d'hier fut comme je l'avais prévue. Longue de plusieurs heures d'attente entre un avion et un bus, un bus et un autobus. C'est que Logroño, c'est pas si facile à atteindre (que ce soit en avion ou en train).
Une journée qui, en plus, avait super mal commencée. Par un pot de choco Kw*ta lâchement tombé au sol. Il m'a glissé des mains entre le pain et le N*squik. Heureusement, il était presque vide, ce qui d'ailleurs est la raison pour laquelle je l'avais savamment planqué dans l'armoire afin qu'il échappe aux fringales nocturnes de mon père. Bref, alors que j'avais pris des mesures pour déguster une dernière tartine au Kw*ta, ce petit plaisir s'est envolé. Rageant.
Et puis, une grosse demi-heure plus tard, au moment de boucler mon sac, je m'aperçois que le cadenas est fichu. Et qu'accesoirement, il est bloqué sur l'un des zips de la fermeture éclair de la grande poche. De mon peu de connaissance en cadenas, je déduis à l'usage, que c'est la roulette chiffrée du milieu qui coince. Elle ne tourne plus aussi bien et parait un chouia plus enfoncée que les autres. Après plusieurs essais, allant jusqu'à réinitialiser le code d'ouverture, il faut bien se rendre à l'évidence : il est impossible d'ouvrir ce cadenas et donc de fermer correctement la valise. Heureusement, on a un stock de petits cadenas à clef, je suis sauvée. Je passe le cadenas dans le deuxième zip et l'ouverture du cadenas à code et zou, l'affaire est pliée. Faudrait peut-être que je passe voir chez un serrurier si on peut au moins enlever le cadenas foutu, à defaut de le réparer.
Le reste de la journée fut voyage et attente. Et malgré un retard de 20 minutes à l'embarquement, nous avons atteri à Zaragoza à l'heure. En cinq minutes, ma valise était disponible. Et coup de pot, mauvais calcul de ma part, il y avait bien une navette de bus toutes les 30 minutes et non toutes les heures. Seul hic, j'ai loupé la première à 5 minutes (voire un peu moins) et donc toute chance de prendre l'autobus de 15h00 pour Logroño. Donc, 25 minutes d'attente à l'aéroport, deux bonnes heures à la gare routière (heureusement, dans un bar, en buvant un colacao et dégustant des pales L*-C*te d'Or tout en lisant un magazine). Arrivée à Logroño à 19h20, chez moi un quart d'heure plus tard et j'ai à peine eu le temps de faire le tour de l'appart et vérifier le contenu du frigo, que le téléphone sonnait. Ma mère qui vérifiait que j'étais bien arrivée. J'ai ensuite filé au supermarché, défait ma valise, fait mon lit et pris une bonne douche avant de sortir diner avec des amis... Soirée que j'ai fait hyper courte, je ne tenais plus debout, assommée de fatigue...
Et aujourd'hui, j'ai un petit million de choses à faire... Pff, plus jamais je rentre un samedi, c'est trop la course et on arrive crevé !
Une journée qui, en plus, avait super mal commencée. Par un pot de choco Kw*ta lâchement tombé au sol. Il m'a glissé des mains entre le pain et le N*squik. Heureusement, il était presque vide, ce qui d'ailleurs est la raison pour laquelle je l'avais savamment planqué dans l'armoire afin qu'il échappe aux fringales nocturnes de mon père. Bref, alors que j'avais pris des mesures pour déguster une dernière tartine au Kw*ta, ce petit plaisir s'est envolé. Rageant.
Et puis, une grosse demi-heure plus tard, au moment de boucler mon sac, je m'aperçois que le cadenas est fichu. Et qu'accesoirement, il est bloqué sur l'un des zips de la fermeture éclair de la grande poche. De mon peu de connaissance en cadenas, je déduis à l'usage, que c'est la roulette chiffrée du milieu qui coince. Elle ne tourne plus aussi bien et parait un chouia plus enfoncée que les autres. Après plusieurs essais, allant jusqu'à réinitialiser le code d'ouverture, il faut bien se rendre à l'évidence : il est impossible d'ouvrir ce cadenas et donc de fermer correctement la valise. Heureusement, on a un stock de petits cadenas à clef, je suis sauvée. Je passe le cadenas dans le deuxième zip et l'ouverture du cadenas à code et zou, l'affaire est pliée. Faudrait peut-être que je passe voir chez un serrurier si on peut au moins enlever le cadenas foutu, à defaut de le réparer.
Le reste de la journée fut voyage et attente. Et malgré un retard de 20 minutes à l'embarquement, nous avons atteri à Zaragoza à l'heure. En cinq minutes, ma valise était disponible. Et coup de pot, mauvais calcul de ma part, il y avait bien une navette de bus toutes les 30 minutes et non toutes les heures. Seul hic, j'ai loupé la première à 5 minutes (voire un peu moins) et donc toute chance de prendre l'autobus de 15h00 pour Logroño. Donc, 25 minutes d'attente à l'aéroport, deux bonnes heures à la gare routière (heureusement, dans un bar, en buvant un colacao et dégustant des pales L*-C*te d'Or tout en lisant un magazine). Arrivée à Logroño à 19h20, chez moi un quart d'heure plus tard et j'ai à peine eu le temps de faire le tour de l'appart et vérifier le contenu du frigo, que le téléphone sonnait. Ma mère qui vérifiait que j'étais bien arrivée. J'ai ensuite filé au supermarché, défait ma valise, fait mon lit et pris une bonne douche avant de sortir diner avec des amis... Soirée que j'ai fait hyper courte, je ne tenais plus debout, assommée de fatigue...
Et aujourd'hui, j'ai un petit million de choses à faire... Pff, plus jamais je rentre un samedi, c'est trop la course et on arrive crevé !
Arf pas évident avec tout ça a faire! bon retour ;-)
RépondreSupprimerhé non :( Reste plus qu'à passer le cap de l'étouffement du retour, de la quantité de choses que j'ai à faire et sortir de l'état vacances et paresse...
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