La que no sepa decir que no

Eh bien, voilà, c'est dit. Je ne sais pas dire non... quand on me propose de sortir. Peu importe que je sois/me sente fatiguée, que garder les yeux ouverts soit un combat de chaque seconde, je finis toujours par dire oui. Et assez rapidement en plus.

Et donc hier, ça a pas loupé. Alors que je m'apprêtais à passer une soirée tranquille, à rejoindre mes draps vers 22h, voilà que mes colocs sortent et me proposent de les accompagner. J'hésite et finis par me laisser emporter. Le temps d'enfiler un jeans, un top sympa et d'attraper mon sac spécial sorties, ça y est, je suis prête.

Une soirée qui a donc commencé par un tour à La Laurel. Comme toujours ici. Une zapatilla de jamón y tomate, une part de tortilla, un tio angus et pour finir, du cochon de lait. Le tout agrémenté de vin rouge. Autant dire qu'une fois de plus, on s'est régalé. On a poursuivi par un kalimutcho dans un bar tout proche avant de continuer la soirée entre filles pour une cubata más. Mais seulement une. Parce que si moi j'ai congé tous les vendredi, ce n'est pas le cas de ma coloc'. Le plan était simple, non ? Sauf que, à peine sur le chemin du retour, elle a rencontré son frère et un groupe d'amis et qu'on a donc accepté un dernier verre. Qui fut le vrai dernier cette fois. Et qu'on a quand même vaillamment résisté à leur proposition de continuer la soirée en boîte. De toute façon, moi j'avais mon compte et il était temps de rentrer pour ma coloc', histoire qu'elle puisse se lever ce matin.

Bref, une toute bonne soirée totalement imprévue...et un bon mal de crâne ce matin !