mardi 12 octobre 2010

Une soirée comme je les aime


Toute bonne soirée que celle de samedi soir. Une de celles qui me font aimer Logroño, son ambiance, ses espagnols... et pourtant elle n'avait pas tout à fait commencé comme prévu.
Mi Colega ne se sentant pas bien, elle n'est pas descendue du haut de la ville à l'heure prévue (19h) et nous n'avons donc pas pu passer par le supermarché acheter de quoi diner. Qu'à cela ne tienne, alors que sans nouvelles d'elle, je pensais la soirée tombée à l'eau, la voilà qui sonne à ma porte. Et une demi-heure plus tard, nous voilà partie au Telepizza le plus proche pour y dégoter notre diner. Retour à l'appart', le temps de manger et il est déjà 23h. Hop hop, je lance le dvd. De toute façon, ici, rien ne sert de sortir avant minuit-1h.


Et donc, c'est vers 1h30 que nous nous dirigeons vers le centre. Pas de problèmes, j'ai retrouvé mes marques et les bars où j'avais l'habitude d'aller. Le seul hic fut la distribution inégale de population entre ceux-ci. Des bars quasi vide à celui où il y a plus moyen de faire rentrer une seule personne en plus...

Enfin, bref. Après une première attaque frontale de dragueurs un brin très éméchés qui nous a fait prendre la tangente au bout d'un moment, une période d'accalmie dans les bars suivants, on a fini par sympathiser avec un petit groupe dans le dernier bar...et résultat on s'est retrouvé à l'entrée d'une boîte, à payer l'entrée et à n'en sortir qu'à la fermeture (vers 5h30, c'est la mauvais côté de Logroño) alors qu'on pensait pas y aller. 

Enfin...ce fut réellement une très bonne soirée. De celle où l'on se laisse porter par l'ambiance et les rencontres, où l'on se marre bien, où l'on fait des rencontres sympathiques et où l'on se fait raccompagner at home en tout bien tout honneur par un caballero. Lequel a pris nos numéros pour le weekend prochain, histoire de remettre ça. Un petit doute sur ses intentions quand même : juste amical ou chercherait-il un petit peu plus malgré le fait qu'on lui a dit qu'on était toutes les deux casées ? Anyway, je ne suis pas sûre qu'il appelera. C'est souvent comme ça ici, tu sympathises, tu échanges les numéros et puis ça s'arrête là. Autant il est facile de se faire des amis d'un soir, autant les vraies amitiés sont plus difficiles à créer.
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2 commentaires:

  1. Tu as vite retrouvé le rythme espagnol :-) Profites-en bien, la vie est courte! Becs

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  2. @ Titemel : replonger dans le rythme, finger in the noze... Par contre, la fatigue se fait sentir, il me reste plus qu'à m'adapter à nouveau pour tout gérer au mieux

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