Cette semaine, avec la venue de Linor, je me suis sentie presque en vacances. En me promenant au détour des ruelles de Pampelune, dans le casco viejo de Bilbao, en passant une journée entière à faire du shopping.
Mais elle ne fut pas pour autant de tout repos, puisque dès mercredi, il a fallu reprendre le rythme et assurer dès le lendemain ma plus longue journée.
Linor, qui en quelques journées au soleil et sans crème solaire, a carrèment bien bronzer. Et moi, qui suis toujours blanche, car jouant la carte de la prudence, je me suis tartinée régulièrement de crème solaire. Il faut dire qu'ici, sans crème, en une heure je crâme. Mais avec ma protection 20, c'est presque zéro résultat visible.
Sans compter qu'une drôle de surprise m'est tombée dessus mercredi. Une proposition de job à la mission, comme enquêteur mystère. Une vraie surprise car j'ai été contactée via un site pour expatriés par une agence installée dans le nord de la France pour une mission, ici, à Logroño. La mission étant urgente, le délai maximum étant vendredi, je l'ai donc remplie le jour même. De prime abord, j'en garderai une bonne expérience, on verra si il y aura d'autres opportunités.
Une mauvaise surprise aussi : je pensais devoir donner un cours particulier ce samedi en fin de matinée et finalement ce sera le dimanche. Dans le fond, ça ne change pas grand chose mais psychologiquement parlant, se dire qu'on va travailler le dimanche c'est un peu difficile. Et oui, j'aurai pu dire non mais ce sera le tout dernier cours avec cet ado et il a son examen de français lundi, alors...
Et puis, une semaine de plus qui s'écoule, une semaine de plus qui me rapproche de mon départ. La semaine prochaine sera déjà ma dernière semaine complète à l'instituto. Quant au départ, la date est maintenant fixée, j'ai acheté le billet. Départ le 4 juin depuis Bilbao pour arriver à Bruxelles le lendemain. Il va maintenant falloir penser à s'organiser en vue de l'année prochaine, voir ce que je pourrais laisser au Guerrero ou à d'autres amis, histoire d'alléger un peu mes bagages.
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